Myspace Graphics, MySpace Glitter Graphics, MySpace Glitters, MySpace Goodies, Myspace Codes at www.MyGlitterSpace.com

Monday, May 28, 2007





Qu'est-ce que la musique rap?
Le rap comme le reste de la culture hip-hop cumule un aspect festif et un aspect contestataire. Les thèmes abordés varient selon les genres et ont évolué selon les époques. Comme la soul et le funk dont il s'inspire, les textes traitent des sujets communs à toute la musique populaire occidentale c’est-à-dire de la vie quotidienne, d'amour ou de sexe.
De nombreux groupes de rap ont également des paroles à vocation contestataire qui le rapproche du punk et de la poesie de la
beat generation. La première chanson de ce genre est The Message écrit par Melle Mel et chanté par Grandmaster Flash. Ces paroles, parfois très virulentes contre les symboles du pouvoir, la police ou la justice notamment ont stigmatisé le rap pour une partie de la population. On peut citer le groupe américain Public Enemy ou le groupe francais Assassin. Les critiques violentes sont en fait assez minoritaires et l'aspect contestataire se limite le plus souvent à une dénonciation qui passe par les descriptions des problemes sociaux tels que le racisme, la pauvreté, le chômage, l'exclusion. En réaction contre la dramatisation de certains paroliers, des rappeurs abordent la vie quotidienne des quartiers populaires d'un point de vue positif.
Une thématique récurrente, notamment dans le
gangsta rap, tourne autour de la société de consommation et des symboles du pouvoir, comme les femmes, les voitures ou les armes à feu. Les rappeurs jouent sur ces fantasmes et se construisent des personnages en général sans lien avec leur vraie personnalité et leur quotidien réel. Des critiques ont été faites contre ces textes qualifiés de sexistes, matérialistes ou prônant la violence, par des hommes politiques et par une partie du milieu rap.
La
religion est également présente, notamment le christianisme dans le rap Structure rythmique
Les
rythmes de la musique du rap (ce n'est pas toujours le cas des paroles) sont quasiment toujours des rythmes 4/4 ou 2/2. Dans sa base rythmique, le rap « swingue ». S'il ne compte pas un rythme 4/4 carré (comme dans la musique pop, le rock, etc.), le rap se base plutôt sur un sentiment d'anticipation, un peu similaire à l'emphase du swing que l'on retrouve dans le jazz. Comme celle-ci, le rythme rap comprend une subtilité qui fait qu'il est rarement écrit comme il sonne. C'est en quelque sorte un rythme 4/4 basique auquel s'ajoute l'interprétation du musicien. Il est souvent joué comme « en retard », d'une manière détendue et douce.
Ce style a été amené de manière prédominante par les musiques
soul et funk, lesquelles répétaient tout au long des morceaux leurs rythmes et leurs thèmes musicaux. Dans les années 1960 et 70, James Brown jette les bases sur lesquelles sera fondé le rap : une musique rythmée (ses enregistrements sont encore aujourd'hui une source de samples inépuisable pour les DJ), un style de chant saccadé, parfois parlé ou crié et des textes véhiculant une forte identité et des revendications sociales ou politiques (en particulier Say It Loud, I'm Black And I'm Proud qui devient un véritable hymne de la communauté noire américaine). C'était le parfait tremplin pour pousser les MC à écrire leurs rimes. C'est d'ailleurs toujours ce qui attire le plus dans le rap : l'emphase mise sur les paroles et la prouesse de leurs élocutions. Le rap instrumental est peut-être la rare exception à cette règle. Dans ce sous-genre du rap, les DJ (ou disc jockeys) et les producteurs sont libres d'expérimenter avec la création de morceaux instrumentaux. Tandis qu'ils peuvent prendre des sources sonores comportant des voix.

Instrumentation et production
L'instrumentation rap découle de la musique
disco, funk et R&B, à la fois sur le plan de l'équipement sonore et des albums échantillonnés. Alors que le mixage réalisé par les DJ disco et de clubs avait pour but de produire une musique continuelle avec des transitions discrètes entre les morceaux, celui réalisé par Kool DJ Herc a lui donné naissance à une pratique visant à isoler et à étendre les seuls breaks en les mélangeant entre eux avec deux copies du même morceau. À l'origine, les breaks (ou breakbeats) étaient les transitions à l'intérieur d'un morceau, composées surtout de percussions. C'est ce qu'Afrika Bambaataa décrivit comme « la partie du disque qu'attend tout le monde... où ils se laissent aller et font les fous » (Toop, 1991). James Brown, Bob James et Parliament - parmi d'autres - ont longtemps été des sources populaires pour les breaks. Sur cette base rythmique, on pouvait ajouter des parties instrumentales provenant d'autres albums (et beaucoup l'ont fait). L'instrumentation des premiers samples utilisés est la même que celle de la musique funk, disco ou rock : voix, guitare, basse, clavier, batterie et percussions.
Alors que l'originalité de la musique rap provenait principalement des breaks des albums du DJ, l'arrivée de la
boîte à rythmes (appelée en anglais beat box ou drum machine) a permis aux musiciens du rap d'intégrer des fragments originaux à leur musique. Les sons de la boîte à rythme étaient joués soit par-dessus la musique produite par le DJ, soit seule. La qualité des séquences rythmiques est progressivement devenue centrale pour les musiciens de rap, car ces rythmes étaient la part la plus dansante de leur musique. En conséquence, les boîtes à rythme ont rapidement été équipées pour produire des kicks (sons de grosse caisse) avec une basse puissante et sinusoïdale en arrière-plan. Cela a permis d'émuler les solos de batterie bien produits de vieux albums de funk, de soul et de rock datant des années 1960 et 70. Les boîtes à rythme avaient de plus un stock limité de sons prédéterminés incluant des cymbales, des grosses caisses, des caisses claires et des toms.
L'introduction des
échantillonneurs (ou sampleurs) a changé la manière dont le rap était produit. Un échantillonneur permet d'enregistrer et de stocker numériquement des petits passages sonores provenant de n'importe quel appareil disposant d'une sortie électrique, comme une platine-disque. Les producteurs ont donc pu échantillonner les sons de batterie des albums de leur jeunesse. Plus important encore, ils ont pu sampler des sons de cuivre, de basse, de guitare et de piano à ajouter à leurs rythmes. Et le rap avait finalement son orchestration au grand complet.
Le caractère dur et énergique des sonorités de la musique rap, souvent assez éloignées du son plus organique des autres genres musicaux, constituent un obstacle à la reconnaissance du genre en tant que forme artistique à part entière. Même les groupes de rap ayant un orchestre utilisent souvent les samples et le son dur et énergique des machines pour créer leurs rythmes en studio (lors de concerts, ils les recréent habituellement avec un orchestre). Le rap est l'objet d'une méprise répandue selon laquelle les samples et les boîtes à rythme sont des techniques pour musiciens paresseux ou encore qu'ils ne sont qu'une pâle compensation pour un « véritable » orchestre (cette considération étant d'ailleurs courante pour toute musique faisant usage de ces techniques). Dans les faits, les producteurs de rap sont souvent à la recherche d'un timbre, d'une texture et d'une fréquence précis pour leur sample et leur séquence rythmique. Un batteur jouant en direct le break de Funky Drummer de James Brown ne peut se substituer à son sample. Toutefois, on peut noter ces dernières années une tendance de retour vers les instruments originaux avec des musiciens et producteurs tels que
Timbaland, Outkast, The Roots et The Neptunes.

Le flow
Le flow est la maniere dont le rappeur chante. Il est en général plus rapide et plus rythmé que les autres types de chant. Le flow peut etre se concentrer sur le rythme, se rapprocher de la parole ou plus rarement mélodique. Les procédés poétiques classiques tels les
métaphores, allitérations et assonances sont utilisées massivement. L'argot est souvent utilisé.

Histoire de la musique rap

Les origines et les influences
Le rap semble formellement se rapprocher de la culture africaine dont se réclame le mouvement hip-hop. Le chant scandé du MC évoque en effet le griot, poète et musicien qui chronique la vie quotidienne ou est invité à chanter lors des célébrations (ex : mariage). De même, le retour à une musique essentiellement basée sur le rythme plus que sur la mélodie ramène aux polyrythmies de percussions africaines.
Une grande partie des premiers DJ et MC sont d'origine jamaïcaine. Les
sound systems jamaïcains ont donc eu un rôle dans l'apparition du rap dans les ghettos Noirs américains.

La genèse
L'ancêtre le plus proche du rap est le « spoken word », apparu au début des
années 1970 avec quelques groupes confidentiels dont les Last Poets ainsi que Gil Scott Heron. Il s'agit à cette époque de la déclamation de discours sur des rythmes battus par des tambours africains avec la négritude comme thème de prédilection.
Le Hip-Hop, lui, est né en 1974 avec DJ Kool Herc, et les premiers raps étaient réalisés par des MC (Maîtres de Cérémonie) qui faisaient des rimes toutes simples pour mettre l'ambiance en soirée.
Le premier morceau de rap proprement dit, King Tim III du groupe
Fatback Band, voit le jour en 1979.
En
1979 , quelques mois après, le premier tube rap sort en 45 tours, c'est Rapper's Delight du Sugarhill Gang. Les rappeurs y sont accompagnés par un orchestre funk et il ne s'agit que d'une vulgaire caricature de la révolution qui se prépare dans les rues New Yorkaises. On peut noter aussi la parution de Magnificient Seven en 1980 du groupe punk anglais The Clash.
En
1982, The Message de Grandmaster Flash fut la révolution annoncée. Il s'agit du premier tube hip hop, une culture de rue qui était alors composée principalement de danse et de DJ-ing. Il est d'ailleurs curieux que, malgré le fait que ce soit le rappeur Melle Mel qu'on entend sur l'enregistrement, le titre est crédité du nom de Grand Master Flash (le DJ - concepteur sonore). Le rappeur n'avait pas le rôle de premier plan qu'il a aujourd'hui. Les rappeurs américains tel que Run DMC critique le racisme des blancs dans leurs chansons, la majorité des auditeurs sont alors des noirs. C'est Puff Daddy, qui a calqué la musique rap sur les chants doux très en vogue chez les blancs aux USA afin de conquérir le marché blanc.
Les
années 1980 furent celles de l'explosion du rap avec des groupes politiques comme Public Enemy ou entertainment comme Run-DMC. Dans la lignée du Do It Yourself des punks New-Yorkais (le hip hop fut d'abord surnommé le « punk noir »), les rappeurs rappaient sur des rythmes synthétiques et brutaux, issus de boîte à rythmes bon marché).
Il s'agit d'une véritable
musique populaire de rue qui développait ses propres thèmes : d'une part sous l'influence de la Universal Zulu Nation (ou plus communément appelée Zulu Nation) d'Afrika Bambaataa qui voyait dans le hip hop le moyen d'éloigner les jeunes des drogues et des gangs et d'émuler leur créativité, d'autre part en tant que témoignage d'une vie difficile (rap "hardcore").
Initialement issu des quartiers défavorisés, le rap à ses débuts est souvent un exutoire au mal-être et aux revendications des jeunes qui les habitent. Les propos violents ou crus sont fréquents, volontiers provocateurs (Fuck tha Police de
NWA ou C'est clair de NTM). Le rap est donc accueilli par le grand public plus comme un phénomène social que comme une forme artistique à part entièreaméricain.

Monday, May 21, 2007


Visaka Bucha Day





A SPECIAL DAY in memory of the passing of Siddhartha Gautama, the Lord Buddha, from this earth, Visakha Bucha Day is a precious testimonial to the 80 years of the Buddha's life and celebrates the end of the live 2544 years ago. It was his death, on his 80th birthday the 15th day of the waxing moon in the 6th lunar month that marked the beginning of the Buddhist Era.
On the day of his departure from this world, enlightenment and nibbana merged and became one, and since that day so long ago the anniversary of the Buddha's death has been observed by Theravada Buddhists as Visakha Bucha Day.
This is a day of fervent observance for true followers of Theravada Buddhism, and it is celebrated in Chiangmai with faithful Buddhists participating in a procession up to Wat Phrathart on Doi Suthep for the purpose of paying homage to the Buddhist relics housed there and for the purpose of what is called "Merit-Making". 'Merit-Making' is an important aspect of Theravada Buddhism.
The procession to Doi Suthep begins at sunset from Chiangmai and after a 9 kilometer walk, the participants arrive at the temple on the mountain at about 3:00 a.m. At daybreak, food is offered to the monks a form of merit making; and homage is paid to the Buddha images in the temple another form of merit-making.
Doi Suthep and the temple on the mountain are an important part of Visakha Bucha Day because in the 16th century it was on Doi Suthep that King Gue Na of Chiangmai received holy relics from the monarch of Chiang Saen and had them housed in sanctuaries in the form of the beginnings of the present temple on Doi Suthep. Since that time, additions and renovations have been carried out by successive kings but the two original sanctuaries are still there.
Participants in the procession to the temple on Doi Suthep carry lighted candles, incense sticks, and flowers and they walk around the temple, Bhote, three times in ceremony. Bhote is the main shrine of the temple where monks are ordained.
On Visakha Bucha Day, as on other Buddhist holy days, Thai Buddhists demonstrate their high respect for what is called the "TRIPLE GEMS" of Buddhist philosophy. These are :
Lord Buddha, the Greatest Teacher
The Dhamma, Lord Buddha's Teachings
The Sangha, the Buddhist Brotherhood of Monks.
Theravada Buddhism is the professed philosophy of approximately 95 percent of the population of Thailand, and the philosophy strongly influences daily life in the country.
Buddhism first appeared in the Golden Peninsular region during the 3rd century B.C. This was before the Kingdom of Siam, or Thailand, was founded. It first appeared in the region at Nakorn Pathom, site of the world's tallest Buddhist pagoda, after the Indian Buddhist Emperor Asoka, or Ashoke (267 - 227 B.C.) sent missionaries to Southeast Asia to propagate the newly established faith.
Theravada refers to only the earliest form of Buddhism practiced during and after the lifetime of that emperor. Another term for Theravada Buddhism is Hinayana, meaning "The Less or Small Vehicle". This preserves and limits the Buddhist doctrines to only those canons codified in the early Buddhist era. A later term, Mahayana, meaning "The Greater Vehicle", was built upon the earlier teachings but was expanded in order to respond more to the needs of lay people.
Although Buddhism was brought to Southeast Asia at the behest of an Indian emperor, the philosophy grew out of a way of life as conceived by Siddhartha Gautama, who was the crown prince of the Sakyas Kingdom on the southern side of the Himalaya Mountains near Nepal. Although a person of royal lineage, he was not happy to see the great problems and sufferings of so many people. He was constantly engaged in thought as to how best to remedy these problems and eventually he gave up his wealth, palaces, wife and son and went into the forest to seek knowledge from several famous teachers of the time. He subjected himself to many years of severe austerity in his search for the truth, but he could find no teacher who could satisfy his quest for answers. Ultimately he went into the forest alone and sat under a Bhodi Tree to meditate.
On his 36th birthday he arrived at a vision of the world and spoke of four noble truths which had the power to liberate the human beings who could realize the noble truths. These truths are:
The Truth of Suffering "Existence is Suffering"
The Truth of the Cause of Suffering "Suffering is caused by Desire"
The Truth of the Cessation of Suffering "Eliminate the Cause of Suffering (i.e. Desire) and Suffering will Cease to Exist"
The Truth of the Path "The Eight Fold Path is the way to Eliminate Desire (i.e.extinguish suffering)".
The "Eight-Fold Path" consists of :
Right Understanding;
Right Mindedness or Right Thought;
Right Speech;
Right Bodily Conduct;
Right Livelihood;
Right Effort;
Right Attentiveness ; and,
Right Concentration.
It was as a result of these Truths and Siddhartha Gautama's exposition of these Truths through vision that he became "The Enlightened One" the word Buddha means "Enlightened One".
Visakha Bucha Day falls every year in the month of May. All visitors to northern Thailand who are interested in the procession up to Doi Suthep are most welcome to join. You are not expected to be Buddhist, nor would anyone in Thailand attempt to convert you to Buddhism if you should choose to participate. The Thais, in the tradition of Buddhist thought respect you for your beliefs whatever they might be and would never try to convince you that you should follow Buddhist thought.
So, if you wish to join in the procession, please do. You'll find it an incredibly sincere participation in one of the world's major philosophies of life



Backgrounds From myglitterspace.Com Glitter Graphics, Myspace Graphics, MySpace Glitter Graphics, MySpace Glitters, MySpace Goodies, Myspace Codes at www.MyGlitterspace.com _Tsukima_